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soldat 5

ESCLOSE Jean

Je suis né le :

26 février 1894

à :

Laruns

Mon métier :

journalier

Mes parents sont :

Esclose Jeanne et de père inconnu

Je vivais à :

Laruns

Je suis mort pour la France le :

1er juin1916

à l'âge de :

22 ans

à :

Verdun

Grade et unité :

Sapeur-mineur, 2e Génie

Conflit :

Première guerre mondiale (1914 – 1918)

Monument aux morts concerné :

Biographie :

Esclose Jean, né le 26 février 1894 à Laruns. Il meurt le 1er juin 1916 en plein pendant les combats de la célèbre bataille de Verdun. Il avait 22 ans lors de son décès 

Membres de la 2e Génie
Il était sapeur-mineur. Un sapeur est un soldat de l’arme du génie chargé de l’exécution des sapes, c’est-à-dire des ouvrages souterrains permettant de renverser un édifice ou bien encore des tranchées. Cette appellation est un fait le maintien d’une tradition des compagnies du génie militaire.
Le 2e Régiment du Génie, qui possédait à la mobilisation 10 compagnies actives, a formé, au cours de la guerre, un total de 150 unités qui ont servi sur les différents fronts. Les sapeurs de ces compagnies, aussi bien en France qu’en Orient ont, pendant plus de quatre ans, montré partout des qualités de dévouement, de courage et d’endurance qui les ont fait admirer de tous. Ils ont participé à toutes les grandes attaques et les revers passagers, comme la victoire finale, les ont trouvés pleins d’ardeur et de foi. Sous la pression formidable des armées allemandes ils ont dû reculer en Belgique, dans le Nord, en Lorraine ; puis ils se sont ressaisis à la Marne ; ils se sont battus en Flandre, en Champagne, en Artois ; ils ont fait la guerre de mines, si meurtrière, en Argonne, en Champagne, dans l’Aisne ; Verdun, avec ses batailles gigantesques, les a trouvés prêts à tous les sacrifices, et les offensives de 1918, qui nous conduisirent à la Victoire, ont fait ressortir leur valeur.
LA BATAILLE DE VERDUN (Février – Octobre 1916) C’est au début de l’année 1916 seulement que les Allemands, qui avaient échoué en août-septembre 1914 dans leur ruée « Nech Paris » ont tenté sur le front occidental une offensive de rupture préparée avec des moyens formidables, notamment en artillerie : ce fut la bataille à jamais mémorable de Verdun. Les 21 et 22 février, un bombardement d’une violence encore inconnue pulvérise nos tranchements. Après quoi les allemands se lancent à l’attaque. Nos troupes plient d’abord puis elles se ressaisissent. Pendant des semaines, pendant des mois, les meilleures unités de l’armée allemande ne peuvent réussi à briser nos lignes. L’ennemi prend néanmoins les forts de Douaumont et de Vaux. Le Mort-Homme et la Côte 304 deviendront à jamais célèbres par les combats acharnés qui s’y livrent. Puis le 24 octobre, c’est la réoccupation par nos troupes du fort de Douaumont et, le 2 novembre, celle du fort de Vaux qui marque la fin de la lutte commencée le 21 février. A ces attaques glorieuses sont mêlées beaucoup de Compagnies du 2e Régiment du Génie : la 16-1, la 16-2, la 16-51, la 16-52, la 17-1, la 17-4, la 17-51, la 17-51M, la 18-52, la 18-63 , la 19-2, la 19-52. La compagnie 17-51 qui prend part à l’attaque du Mort-Homme est citée à l’Armée ainsi que la 17-51M. La 19-2 et la 19-52 se distinguent particulièrement à la prise de Douaumont qui leur vaut une citation à l’armée ; à Fleury, une section de la 19-2 reçoit la même récompense. Source: Historique du 2e Régiment du Génie pendant la Campagne 1914-1918, Montpellier, Imprimerie Firmin et Montane, 1920. Numérisé par Mireille SAUER, mars 2010.
Fanion de la compagnie de Jean

A propos du rédacteur de cette fiche

Prénom :

Morgane

Etablissement :

Les cinqs monts

Classe :

3e

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